Entre une robe fourreau noire et un shorty-bolero

Décidément, le « Betty's » de Pont-du -Château est un club libertin selon mes sens.

J'aime son côté caboulot au bord de la rivière même si, le conformisme ambiant, empêche de profiter de la nature, même si, à la belle saison, une terrasse aérée permet de profiter du beau temps, du vent et même de la pluie.

J'apprécie ses grands espaces, son bar, sa piste de danse bien aménagée (les amatrices de barres y trouveront leur bonheur), ses coins câlins variés.

Mais j'apprécie surtout sa clientèle. Si toutes les générations s'y côtoient, les libertines et les libertins qui s'y pressent savent respecter les dress-codes qui président à notre style de vie. Et ceux qui suivent ce blog depuis longtemps, savent à quel point je suis sensible à ce sujet.

A cet égard, la soirée du 15 novembre était exemplaire. De nombreux couples s'y pressaient avec un bon ratio d'hommes seuls (il faut être réaliste, cette question n'est pas sans importance).

Même si je continue à regretter le « quant-à-soi » qui préside trop souvent dans les clubs français, l'Auvergne est quand même une région « bonne vivante ».... et puis j'ai appris, dans ce monde licencieux comme dans le monde conformiste que les relations sociales se construisaient sur le long terme et que le patience est une vertu cardinale des libertins.

Je saluerai quand même au détour de ce blog, l'amie rencontrée sur Facebook qui passa une bonne partie de la soirée dans le jaccuzi, désolé, mais surtout en soirée, cela n'est pas trop mon truc. Néanmoins, je serais toujours heureux de vous croiser de nouveau.

A défaut de détailler l'assistance, mon œil à pris plaisir à suivre plus particulièrement deux jeunes femmes. La première, les longs cheveux blonds bouclés, vêtue d'une longue robe fourreau noire. Ce n'est pas si fréquent, en ces lieux, qu'une robe descende jusqu'au cheville. Mais collante à un corps aussi fin, qui aurait osé dire qu'elle n'était pas sexy.... surtout pour découvrir, un peu plus tard qu'elle cachait un délicieux porte-jarretelles noirs qui n'avait rien à lui envier pour la mise en valeur de la libertine. La seconde, un micro-short noir, un boxer, un shorty aux reflets brillants porté sur un boléro qui n'avait qu'un désir que de s'ouvrir sur une petite et jolie poitrine bien appétissante..

Comme d'habitude, vous ne saurez pas ce qu'il advint dans ce club ce soir là. Pour en découvrir plus , je ne peux que vous inviter à découvrir, en soirée, ce club.

Enfin, un clin d'oeil à l'hôte et à l'hôtesse dont le corset lacée blanc irradiait le bar.