Du bon usage de Facebook

Dans mon précédent billet, j'ai évoqué le fait que Facebook m'avait conduit à un « bon » petit coup de blues.

Pour une fois, l'administration de Facebook n'y est strictement pour rien.

Les quatre ou cinq fois où j'ai vu mon profil disparaître (et il semble que je ne suis qu'une « petite » victime de la pudibonderie U.S.), ne m'avaient pas autant affecté que l'usage que semble faire de ce réseau social un trop grand nombre d'Internautes.

Faut-il une nouvelle fois rappeler que FB n'est qu'un réseau social et qu'il n'a pas à assumer les fonctions que d'autres objets d'Internet remplissent beaucoup mieux que lui.

Pour information, Internet 2.0 est un écosystème qui allie (donc n'exclut pas) les autres formes d'expression.

• Le blog (autrefois, les « pages perso »), facile à mettre en œuvre, permet l'expression quotidienne et la diffusion, dans la continuité, des belles images que vous souhaitez publier.

• Le site Internet, s'il est bien structuré, tout aussi facile à mettre en œuvre aujourd'hui est là pour diffuser une information stabilisée que l'on souhaite voire durer dans le temps ;

• Twitter est un excellent outil d'alerte et de dissémination de vos contenus

• Facebook, enfin, est un espace de rencontre plus ouvert que les sites de rencontres spécialisés ainsi qu'un espace de débats ponctuels puisque l'information disparaît très vite

  Notez qu'il n'est pas le seul réseau social existant et, s'agissant du libertinage, il n'est pas sûr qu'il soit le plus approprié. Mais, sa qualité d' « application killer » en fait un incontournable, ce qui n'interdit pas que, par cooptation, vous pouvez choisir vos relations sur FB et continuer à les fréquenter sur des réseaux sociaux plus « secrets ».

Entre les invitations à des jeux auxquels je n'ai pas l'intention de jouer qui pourrissent ma boite de courrier électronique, les collections de photos (dont la plus part sont tout à fait passionnantes), les débats avortés (parce qu'ils disparaissant vite au fur et à mesure que les murs avancent), les états d'âme personnels de certains participants,... je viens de supprimer près de 5 000 mails d'alertes.
Impossible de les lire tous.

Une chose encore, il existe dans outils qui permettent de monitorer à partir d'une seule et unique page de navigateur tous le système décrit ci-dessus.

Vous souhaitez des renseignement supplémentaires, n'hésitez pas à les demander et à vous faire guider dans vos usages « libertins » de l'Internet.