Vit

« La partie qui fait les empereurs et les rois, la garce et le cocu » dit le vertueux Pierre Richelet.

En voici la description, d’après l’auteur du « Noviciat d’Amour »

« Ce tube est le chef d’œuvre de l’architecture divine qui l’a formé d’un corps spongieux, élastique, traversé dans tous les sens par une ramification de muscles et de vaisseaux spermatiques. Il est, à son extrémité supérieure, surmonté d’une tête rubiconde, sans yeux, sans nez, n’ayant qu’une petite ouverture et deux petites lèvres couvert d’un prépuce, retenu par un frein délicat qui ne gène point le mouvement d’action et de rétroaction : au bas de cet instrument précieux sont doux boules ou blocs, arrondis qui sont les réservoirs de la liqueur reproductive, qu’aspire ou pompe votre pariie dans le mouvement ou frottement du coït, id est, de la conjonction ; ces deux boules enveloppent deux testicules, d’où elles ont  pris le nom et sont soutenus par le ralphé ; on les nomme plus généralement couilles ou couillons ».

Mercier de Compiègne

« Ah ! je n’y tiens plus ! le cul me démange…
Qu’on m’aille chercher l’Auvergnat du coin…
Car je veux sentir le vit de cet ange
Enfoncer mon con – comme avec  un coin »

Parnasse Satyrique

Dictionnaire érotique moderne, Alfred Delvau, 1850

 

Sous sa forme habituelle, il n’est recommandé ni dans les forums, ni sur les sites de rencontre

 

Mais les femmes se lassent des images des vits glorieux et demandent souvent autre chose.