Le sex toy : Quelques chiffres

Leader de la vente d'objets érotiques en ligne, SexyAvenue a lancé une enquête sur les sex toys sur son site. Les résultats de ce sondage brisent certaines idées reçues. D'une part, ces objets sexuels sont plus souvent utilisés en couple. D'autre part, les seniors en sont les plus grands consommateurs !

Parmi les répondants à ce sondage conduit sur le site de Sexyavenue (forcément utilisateur de sextoy à 95 %), l'utilisation d'un sextoy se fasse d'abord en couple et non seul. Plus de la moitié préfère effectivement utiliser leur jouet sexuel à deux, notamment pendant les préliminaires (52 % des personnes). Fini le cliché du/de la célibataire qui souhaite pimenter sa vie érotique !

Second enseignement : les seniors se sont totalement familiarisés avec les sextoys et de façon plus surprenante en possèdent plusieurs, 55 % d'entre eux en possèdent 3 ou plus. Cette constatation est le reflet d'une sexualité qui se prolonge et s'assume chez les plus de 50 ans. Parmi les utilisateurs, c'est avant tout l'envie d'essayer quelque chose de nouveau qui a motivé l'achat (86 %), et ce pour plusieurs raisons : stimuler le plaisir dans une relation intime (42 %), parvenir à l'orgasme (18 %, surtout chez les moins de 25 ans, les femmes et personnes seules), mais aussi prolonger le plaisir en tout état de cause (22 % surtout chez les hommes). Et le résultat est souvent au rendez-vous : pour 34 % (sur 88 % des personnes interrogées), leur sextoy leur permet d'atteindre l'orgasme à chaque fois et pour 46 % très souvent ! Parmi les différents achats, les vibromasseurs restent en tête (35 %), devant les godemichets (15 %) et les boules de Geisha (13 %). C'est la matière qui est le critère le plus déterminant dans le choix du sextoy (21 %) mais aussi le type de stimulation (19 %), bien évidemment.

Le trio de tête :

1	2	3

A l'heure actuelle, le sextoy est de moins en moins un sujet tabou : pour près de la moitié des utilisateurs interrogés, c'est même un sujet à aborder avec des amis proches (51 %). Toutefois, une petite divergence hommes/femmes subsiste : 22 % des femmes en parlent facilement entre copines alors que les hommes restent beaucoup plus frileux entre "potes" (7 % seulement).