Bon élève,je cherchais à compléter mon profil (secret) Facebouque. Que le réseau social refuse que je signale que j'habite à mi-chemin entre Paris et le Cap d'Agde (pour ceux qui descendent en voiture, en car ou en camping car par l'A71 et l'A75), je veux bien l'admettre, difficile sur ce non-nom de ville, de me géolocaliser sur Google Maps. J'en fais pas un cas de casus-belli (tiens, je leur ai indiqué que je parlais le français, l'anglais et le patchoun – 1 uv universitaire quand même, mais j'ai oublié le latin 5 ans et secondaire et la messe hebdomadaire de ma jeunesse).

Mais quand il m'a fallu indiquer quels sports j'aimais, je suis tombé sur un questionnaire fermé dont voici une copie d'écran.

Je voulais simplement indiquer que je pratiquais le sports en chambre (en cuisine, en voiture, en plein-air). Rien à faire, le moteur de recherche ne les connaît pas).

Quand aux propositions, on peut légitiment se demander si Facebouque n'est pas sponsorisé (on est dans le domaine des sports) par les marchands de maillots ou l'Argent quatari.

Tant pis, la section restera vide !

Des photos, des vidéos et.... rarement du son.

Alors pour le plaisir de l'oreille, des sons divers à découvrir

Plaisir et gémissements

(Source : sound-fishing.net)

Mastigophilie : Plaisir sexuel provoqué par des coups de fouet.

J'en ai le gland qui souffre !

De Hong Kong à la Norvège, AmnestyInternational détaille la situation des travailleurs du sexe de  zones géographiques et contextes très différents. Quel que soit le pays,  la situation de ces personnes est partout alarmante et révèle une absence de garantie et de respect de leurs droits et de leur sécurité. 

Certaines activités liées au travail du sexe  comme la «promotion de la prostitution » ou  la location de lieux où ces services sont vendus - sont des infractions au regard de la loi. 

Les personnes qui exercent un travail du sexe n’ont donc pas la possibilité - alors que cela pourrait contribuer à  leur sécurité - de travailler à plusieurs ou de louer les services de tiers, car cela s’apparente  à  de la « promotion de la prostitution ». De même, le propriétaire d’un logement peut être poursuivi s’il le loue à un travailleur ou travailleuse du sexe. 

Les cas de  viols et de violences commis par des clients ou des bandes organisées sont fréquents. Pourtant, rares sont les travailleuses et travailleurs du sexe à porter plainte. Souvent, ils ne le feront que pour les cas les plus graves. Et certains de ceux qui osent porter plainte sont expulsés de leur domicile ou du pays.