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Jeudi 28 juillet 4 28 /07 /Juil 00:00

Libération consacre, dans son cahier central, une chronique d’été aux « Cultures du sexe ». Je les collectionne et il me paraît probable que ces articles sur des thèmes très divers pourront alimenter, par des commentaires, ce blog.

 

Aujourd’hui, la chronique est intitulée : « En avoir ou pas (de la conversation) »

 

C’est un vaste sujet quand la littérature contemporaine, les films et les sites Internet ne réduisent plus leur évocation du sexe féminin, masculin ou à l’acte sexuel, qu’à moins de six mots : « chatte », « foufoune », « bite », "queue », « baiser », « prendre », ce qui, si l’on varie les plaisirs (à la mode de Queneau) ouvrent de larges possibilités littéraires

 

Je fais du copier/coller pour aller plus vite :

 

V1 : « tu la sens bien ma queue dans ta chatte pendant que je te baise »

V2 : « tu la sens bien ma bite dans ta foufoune pendant que je te prends »

V3 : « tu la sens bien ma bite dans ta chatte pendant que je te baise »
V4 : « tu la sens bien …

 

Je ne vais pas me faire toutes les permutations (qui par ailleurs me semblent avoir un ton légèrement machiste). Mais pour entretenir un blog, et pour avoir plus de permutations encore, éviter les répétitions (une consigne que tout bon lycéen c’est entendu répéter maintes fois, mais qui semble aujourd’hui oublier), quelques références :

 

Les mots et la Chose de Jean-Claude Carrière, Plon

Appeler une chatte de Florence Montreynaud, Payot

Alice au Pays de Porno de Michela Marzano, Ramsay (celui là, il faut que je le trouve à cause du Miroir).

 

A cette bibliographie de Libé, j’ajouterai la préface de Marcel Béalu à son Anthologie de la Poésie érotique (Seghers, mais j’ai peur que cela soit épuisé) qui pour le sexe de la femme, celui de l’homme et pour la grande envolée, trouvait (pour chaque thème) plus de 300 mots dans la langue française. Un staticien pourrait-il me donner le nombre de permutations possibles, que je paramètre le blog en conséquence (lol).

Par C.... - Publié dans : Des règles à respecter
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Mercredi 27 juillet 3 27 /07 /Juil 00:00

Un nouvel outil pour les psychanalystes : le blog ou de l’association d’idée dans le monde numérique.

 

 

 

Faisant le tour de ma jeunesse folle, me voilà obligé de faire un retour en arrière, à l’âge où trois poils au menton se battent avec trois poils sous le nez et trois poils à la zigounette.

Je fais un séjour de quelques mois à proximité d’une ville du centre de la France qui accueille encore une grande base américaine. L’épisode se situe entre ma vie de boy-scout et la découverte des « Folies de Paris-Hollywood ».

 

 

 

Je vais être encore obligé de faire jouer la prescription, mais à cette époque, sur le chemin de retour du collège à la maison, il y a des « bars américains »… terme bien mystérieux.

 

 

 

Comment y suis-je entré un jour ? Pas de souvenir, sinon peut-être l’assistance d’un copain du coin (je ne faisais que passer)… et j’ai fini par ne plus en sortir, obligé que j’étais de compléter mon argent de poche en fouillant dans le porte-monnaie maternel.

 

 

 

L’objet de mes désirs : la serveuse-montante probablement de ces bars, court vêtue et la poitrine découverte. Allons donc. Non, le flipper,

 espace érotique

la babasse sur laquelle on s’escrime pour passer les 100 points, les 500 points, les 1000 points, le full, les trois petits singes qui montent au cocotier, l’hawaïenne qui se trémousse en faisant danser son paréo, la pin-up pleine de promesses lumineuse sur la vitre peinte.

objet érotique du désir objet érotique du désir

 

 

 

Et le garçon connaît ses premiers émois, le bassin collé contre l’engin pour branler la machine. Il ne sait pas encore ce qu’il manque… et les flippers vont encore l’accompagner pendant de longues années.

 

 

 

Parents bien-pensants, ne laissez pas vos enfants jouer au flipper, combien de surdités à causer cette engin dangereux. Ne pas secouer ou bien, « Tilt ».

Par C.... - Publié dans : Adolescence
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Mercredi 27 juillet 3 27 /07 /Juil 00:00

A défaut d’avoir pu pratiquer le Queen’s English avec les hommes d’affaires britanniques dans un de leurs clubs… je passe, par à hasard, à des découvertes plus précises.

 

Langue mondiale , Beatles et Rolling Stones obligent, toute la jeunesse européenne converge vers la banlieue londonienne pour perfectionner son anglais. Si donc, les contacts avec les petites anglaises sont bien limités (timidité naturelle du jeune âge), c’est une petite (pas si petite que cela) allemande qui littéralement me lève.

 

Je dois vraiment faire vieux, ou elle est myope, ou elle aime les petits jeunes. Je crois quand même à la première raison, elle n’a jamais a que deux ou trois ans de plus que moi et je dois faire l’affaire.

 

Travaux d’approche d’adolescents qui ne savent pas trop comment si prendre d’autant que la conversation est limitée à nos compétences dans la langue de Shakespeare (qui pour ma part, ne sont pas au top). Travaux d’approche d’adolescents, longues promenades dans la ville de Brigthon, sur la plage… je n’ai pas souvenir que nous nous soyons jamais baigné ensemble.

 

Et la coexistence franco-allemande d’après-guerre – cela fait particulièrement sens pour moi (Merci Adenauer, merci De Gaulle) – porte ses fruits.

Les coins secrets de Brighton

Petites rues de Brighton (G-B) dans les années 60

 

Eloignés de la foule sur la plage, dans un coin perdu d’un parc, dans les petites rues désertes des marges de la cité balnéaire, j’apprends qu’un téton, sous un doigt glissé dans un soutien-gorge, est érectile, je découvre que plus on monte, du genou à la cuisse, plus la peau est douve, qu’il n’est pas interdit (et même qu’il est excitant) de glisser un doigt, puis deux, sous l’élastique de la culotte d’une fille, qu’une fente est souple, douce, chaude, et peu devenir humide… et que cette humidité à un goût et un odeur bien plaisante. Qu’a-t-elle appris, elle ?

 

Ma petite allemande est sur la bonne pente… je ne suis pas sur que mes compatriotes, au même âge, en soient encore au même stade (j’aurais l’occasion de le vérifier). Mais la contraception n’est pas encore là… et pas question d’aller plus loin. J’ai appris un nouveau mot : « petting » : « Passionate kissing, caressing, hugging, and general body touching with the hands, which (may or) may not lead to sex ».

 

 

Ma pratique de l’anglais n’est pas géniale, mais je le parle facilement (grâce aux périphrases), je n’ai pas fait de progrès en allemand… mais je ne m’étais jamais trouvé aussi prés du corps d’une femme.  

Par C.... - Publié dans : Adolescence
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Mercredi 27 juillet 3 27 /07 /Juil 00:00

Masturbation : Stimulation de ses propres organes génitaux qui provoque une montée de l'excitation sexuelle permettant à l'orgasme de se produire.

 

 

 

Le lecteur, aux premiers posts, pourra légitimement penser que je fais la part belle à la masturbation. S ’il lit avec attention, il verra que ces posts ont largement trait à mes périodes pré-pubertaires et pubertaires.

 

 

 

Avec beaucoup de chance, et si le blog continue d’être lu, les chapitres suivants, pourront largement faire place à d’autres exercices. Mais celui-là, tant chez l’homme que chez la femme, chez l’animal semble-t-il aussi, est une constante de la vie. Malheureux celui qui cesse de ce masturber. Heureux celui qui, au-delà du plaisir solitaire, toujours réconfortant, découvre la masturbation collective, la masturbation partagée…

Masturbation solitaire

 

Nizan n'avait peut-être pas tout à fait raison, par certains aspects, vingt ans peut-être le plus bel âge de la vie

 

Le demi-siècle passe, je me considère, avec satisfaction, comme toujours actif. Allez, encore un petit coup pour la route !

Par C.... - Publié dans : Continuité
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Mercredi 27 juillet 3 27 /07 /Juil 00:00

Il ne faut pas faire preuve de duplicité. Un blog n’est pas un chant d’oiseau adressé aux nuages, un passe temps.

 

Tout ce qui procède du virtuel, dans la Société de l’Information, doit s’ancrer dans le réel où nous risquons de voir disparaître la sueur et le sperme, le fromage qui pue pour vivre dans une société aseptisée où l’on tirera la chaîne des toilettes avant d’aller pisser.

 

Je ne transige pas sur cette règle et si ce site me permet de rencontrer des gens dans le virtuel comme dans le réel, n’hésitez à vous signaler.

 

Pour information : Je ne fais pas du sexe en action un a priori. En bon « intellectuel de gauche », le partage de certaine valeurs (sexualité libertine et libertaire, érotophilie, ouverture d’esprit, curiosité pour les choses et pour les êtres, - liberté, égalité, fraternité -, goût de la bonne chair et des vins…) et la partie de jambes en l’air est « un plus si affinité, mais non nécessaire ».

 

Pour information toujours : J’ai toujours considéré que je ne pouvais aimer tout le monde, mais je ne souhaite (ni ne sait) détester personne. Par ordre de préférence, en fonction de mes objets sexuellement déterminés :

 

les femmes (seules ou accompagnées, hétéros ou homos, petites ou grandes, fines ou fortes…) - le " fruit préféré "

 

les couples (légitimes, illégitimes, échangistes, mélangistes, curieux…), la " cerise sur le gâteau "

 

les transgenres (par curiosité, je n’en ai jamais rencontré)

 

les travestis (plutôt minces et féminins – on ne se refait pas)

 

les hommes, en dernier (hétéros, homos ou indifférents). Rien dans leur cas n’est interdit, mais il faudrait de « sérieuses affinités » physiques ou intellectuelles, désolé, ce n’est pas dans mes fantasmes ?

 

peuvent commenter ou me contacter avec pour objectifs, dans tous les cas, d’enrichir ce blog dans la simplicité, la salubrité et la discrétion absolue.

 

Par C.... - Publié dans : Des règles à respecter
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Mercredi 27 juillet 3 27 /07 /Juil 00:00

A parcourir les blogs érotiques, pour adultes… j’ai constaté trois grandes tendances :

 

  • Les blogs créés qui n’ont jamais eu aucunes activités. Ils ont des titres bien apetissant mais vous laissent sur votre faim
  • Les blogs qui ont eu une activité limitée. Je sais qu’il est difficile de porter un blog dans le temps, celui-ci n’est pas mon premier. Ce sont parfois des blogs pleins de promesses et qui vous frustrent de ne pas les voir mis à jour.
  •  

    Les blogs défouloirs qui accumulent sans fin des images pornographiques comme si leurs auteurs cherchaient à se constituer un coffre-fort secret d’images qu’à défaut de pouvoir partager avec leurs proches, ils diffusent sur la toile.

 

Je n’ai rien contre les représentations obscènes, je peux même me considérer comme un amateur, mais je ne suis pas favorable à l’accumulation, sauf si, dans des cas  rares, elle est le signe d’une geste transgressive et militante : j’en veux pour preuve le blog de deux jeunes femmes qui aiment les femmes qui, joyeusement, nous donne à voir une image réjouissante de cette forme de sexualité féminine. J’assume mon hétérosexualité et mon goût pour les femmes, j’assume le fantasme (fréquemment répandu parait-il) de l’homme face au lesbiennes et ne m’en sens pas coupable, j’assume donc le plaisir à consulter ce site. La dernière série de fleurs écarlates (pendant les vacances) publiées me fait pense au conseil donné aux femmes par « Notre Corps, Nous Même » de contempler leur sexes. A cette série de photos, s’ils ont la curiosité nécessaire, les hommes auraient beaucoup à gagner. Merci à elles.

 

Quand à la pornographie (de pornè, courtisane, et graphein, écrire), je préfère la forme écrite. L’illustration, dans la société de l’image, n’étant là comme son nom l’indique pour illustre, commenter, préciser, faire découvrir.

 

C’est une règle à laquelle je me tiendrai

Par C.... - Publié dans : Des règles à respecter
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Mardi 26 juillet 2 26 /07 /Juil 00:00

Restons en Grande-Bretagne et à Londres en particulier, à la même époque. Soho était plus que jamais le centre du Swinging London… et je prends swing à son double sens.

 

 

 

A quatorze, quinze ans, les publicités, petits cartons collées aux cabines téléphoniques rouges (qui paraît-il sont en voie de disparition), des filles de petite vertu, étaient bien excitantes mais bien au-delà des moyens offerts par mon argent de poche, d’ailleurs, il me semble, aujourd’hui, que je n’aurais pas eu le courage d’en suivre aucune de peur que ma jeunesse ne transparaisse.

 

 

 

Il fallait en rabattre et se rabattre sur les Clubs « X Moovies ». En fait de X, il était soixantenaire. Rien à voir avec la large diversité des situations offertes aux Français par Monsieur Giscard d’Estaing. A l’empilement des corps, l’exotisme des situations, la profondeur des prises de vues, la variété des sexes et des genres, la complexité des gadgets, il fallait, à la vision des « Nudies », se contenter de la pointe d’un sein émergent d’un déshabillé vert, d’un porte-jarretelles ou d’une guépière, de bas qu’on imaginait de soie, d’une combinaison soulevée…

 

 

  Nudies 1960

 

Dans mon souvenir, l’entrée du Club, un vrai Club anglais, devait tourner autour de 7 livres, cher mais efficace pour le puceau qui s’encanaille. Et le doux frisson de l’Interdit, la peur d’être pris, d’être expulsé manu-militari. Mais les tenanciers n’y regardaient pas de si près (7 livres, c’est une somme)… et les "Gentlemens de Soho", chapeau melon, costume croisé, avaient les yeux fixés sur l’écran. J’ai du plus d’une fois serrer les cuisses d’excitation, mais il n’était pas encore question, comme cela c’est fait quelques années plus tard, de se pogner publiquement.

 

 

 

Non, la main, c’était pour la chambre rose bonbon et ses meubles en bois, le soir après le retour par le train de banlieue vert.

Par C.... - Publié dans : Adolescence
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Lundi 25 juillet 1 25 /07 /Juil 00:00

Puisque j’en suis dans mes premiers émois littéraires, autant continuer

 

J’ai eu de la chance, à mon adolescence, même si j’ai du le regretter plus tard, d’avoir assez tôt ma poussée de croissance. Ajoutée à une pilosité assez fournie, je faisais plus vieux que mon âge.

 

Dans les années 60, il était déjà d’usage d’aller passer chaque année quelques semaines dans une famille en Grande-Bretagne… et les bonnes habitudes ne se perdaient pas. A 14 ans, pas assez mûr pour draguer les filles, il fallait se rabattre sur la littérature locale… et  j’ai fais des progrès en anglais… j’ai aussi appris à retarder le plus longtemps possible ma jouissance masturbatoire.

 

Grâce aux nudistes britanniques.

Health & Efficiency

 

Impossible de trouver

la version des années 60

 

 H&E version années 50

 Le site d'H&E, le mag existe toujours

 H&E version années 70

N’allez pas croire toutes les anglaises qui ont le hoquet ne disent pas à leur amant « Chérie, j’ai eu un orgasme ». Moi, j’ai eu mon compte d’orgasme, à m’en rendre sourd, à perdre ma mœlle épinière.

 

Par C.... - Publié dans : Adolescence
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Lundi 25 juillet 1 25 /07 /Juil 00:00

Avec quoi faire son éducation sexuelle, une fois qu’on a fait le tour du Petit Larousse, du Grand Larousse, de la Grande Encyclopédie Larousse et du Larousse Médical ?...

 

A quatorze ans, les ressources de la bibliothèque familiale (un peu de Pierre Louÿs, « Les fleurs du mal »…) se sont vite révélées insuffisantes. Il fallait voir ailleurs. Les Bibliothèques publiques ou les « Bibliothèques pour tous » n’ont pas grand-chose à offrir…

 

Jusqu’à ce que je découvre, dans l’arrière-boutique d’un marchand de journaux « Les Folies de Paris-Hollywood » et autres « Paris Coquin ».

 

Ah !, les  « Les Folies de Paris-Hollywood » . Combien d’adolescents à peine pubères ont fait leurs classes d’anatomie féminine avec les « Les Folies de Paris-Hollywood ». De fait, c’était mieux avant ☺. Les femmes avaient encore un corps qui pouvait faire fantasmer, une poitrine – bien qu’il paraisse que les poitrines se mettent de nouveaux en valeur –, des hanches, des fesses… un corps, quoi !

 

Et puis, ce triangle pubien soigneusement retouché qu’il avait la douceur d’un abricot. Les soupirs et la main branleuse ne s’attachaient pas à des planches anatomiques.

 

Hommage à la soie, à la dentelle, au nylon, à toute cette lingerie vaporeuse qui avait, à mes yeux au moins, bien plus de saveur que le latex ou le vinyl.

 

Rendez-moi tous ces magazines perdus dans les champs, où le petit pervers, après avoir caché son vélo, se branlait généreusement. S’ils n’ont pas été dissous par la pluie, il doivent encore avoir une bonne odeur de foutre.

Par C.... - Publié dans : Adolescence
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Dimanche 24 juillet 7 24 /07 /Juil 00:00

Comme un pourcentage très important de la population française, je suis né dans une famille catholique pratiquante. Nous sommes à la fin des années 50 et, semble-t-il, les choses ont bien changé depuis… je n’en suis pas mécontent.

 

A dix ans, à moi les culottes courtes de drap bleu, les mi-bas de laine et les chaussures de marche. On marche au pas chez les louveteaux, tendance infantile des Scouts de France.

 

Elles m’en ont fait baver ces jeunes filles déguisées en cheftaines. Elles m’ont fait baver aussi. Quel âge avaient-elles ? Dix sept, dix huit, dix neuf, vingt peut-être et ma virilité naissante préférait, sans contestation, le bout de peau nu entre le bas d’une jupe plissée bleue et les chaussettes blanches au gravures du dictionnaire Larousse.

 

Combien pouvaient-elles être gourdes de préférer s’occuper de loupiots pré-pubères que de jouer à « touche pipi » dans les jardins du parc avec leurs petits copains.

 

Mais elles m’ont laissé un bon goût sous la langue, meilleur encore puisqu’elles n’ont rien vu venir.

 

Prenez, quelques jours avant Noël, un fils de bonne famille. Demandez-lui d’apporter un jouet ou un livre auquel il est très attaché. Faites-lui emballer le livre qu’il a choisi, papier cadeau et bolduc. Et, en groupe, partez distribuer les cadeaux collectés. Faites-le déposer le paquet sur le perron d’une maison. Sonnez et …qu’il courre se cacher quelques mètres plus loin pour qu’il contemple « la joie du petit pauvre » découvrant le passage du Père Noël.

 

Le Père Noël n’est pas passé, cette comédie non plus, elle m’est restée sur l’estomac. A la messe suivant, j’ai commencé à rêver…

 

« Ne pleure pas, mon pt’it loup, on peut encore rêver aux lendemains qui chantent ».

Par C.... - Publié dans : Sexe et politique
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