Avant la légalisation de l'échangisme, 20 % des clients étaient simplement voyeurs tandis que les autres participaient pleinement aux jeux sexuels
Mais, Monsieur Jean Hamel de l'Association des échangistes du Québec, se désole :
" Victimes de leur popularité, les clubs échangistes attirent de plus en plus de voyeurs au détriment des adeptes qui désirent vraiment avoir des relations sexuelles en groupe… Aujourd'hui, c'est rendu à moitié-moitié ".
Résultats : " plusieurs adeptes de l'échangisme se sont tournés vers les maisons privées qui sont fréquentées par des «vrais échangistes»" et " "les clubs vont peut-être insister pour que les gens qui entrent acceptent de participer aux activités."
Comme quoi, institutionnaliser un phénomène de mœurs n'est peut-être pas la meilleure chose à faire
Un site Internet US qui propose une bonne synthèse d'informations sur le libertinage :
Le site est en anglais... une bonne manière de pratiquer, pour les non anglophones on tentera d'en traduire quelques passages
Un libertin de ma connaissance sur le forum d'un site libertin d'Ile-de-France à connaître : "Nous 75 – l'univers des Libertin" (le forum est réservé aux inscrits), revient sur la question du célibataire en club ou sauna libertin.
Je ne peux qu'être d'accord avec son post qui conclut : " Messieurs les VRAIS libertins, sachons prouvez que nous ne sommes pas tous des pénis ambulants mais que nous avons aussi un cerveau!!".
Ayant comme lui fréquenté quelques clubs ou saunas tant seul qu'accompagné, je complète son commentaire par les réflexions suivantes :
Bien qu'il existe des espaces libertins qui privilégient les "hommes seuls" pour l'entrée (chère en Ile-de-France, bien moins onéreuse dans de nombreux endroits en Province) et la limonade, les endroits où je suis retourné accueillaient les hommes seuls simplement parce qu'il existe une demande de femmes seules (quelques unes, toujours trop peu nombreuses) ou de couples qui trouve dans le triolisme ou les échanges pluriels leurs plaisirs.
Si le libertin sus-cité critique les comportements de nombres des hommes présents dans ces lieux (tout en constatant que certains couples sont aussi mal élevés que bien ces messieurs), il n'insiste pas suffisamment, à mon avis, sur le rôle d'hôtes et d'hôtesses que devraient jouer les animateurs de ces espaces.
Un début de soirée hormonieux....
Ils ne doivent pas seulement être physionomistes pour filtrer les entrées, ils devraient plus souvent jouer leur rôle d'animation. A partir du moment où il connaissent leurs clients, ils ne devrait rien leur coûter d'assurer la mise en relation de leurs visiteurs au grès des choses qu'ils savent d'eux. Cette médiation poserait, le plus souvent, les échanges en passant par les cases naturelles d'un verre partagée, d'une conversation, du partages des goûts ou de connaissances.
.... et le gage d'une fin de soirée passionante
Pour plus de détails, je vous renvoie sur la mise en garde que je faisais en présentant le site de nous 75 : adulte-ere.over-blog.com
J'avais fait état, au tout début de ce blog, des réserves que j'avais à l'égard des saunas.
Bien bête, celui qui ne change pas d'avis, surtout quand il s'aperçoit qu'en cas de canicule, l'endroit le plus agréable peut-être un sauna.
Douche, sauna, bain turc, jacuzzi au rez-de-chaussée,
"Le Clean", à Riom (Puy-de-Dôme) est du modèle montant… les coins câlins sont à l'étage. Mais si ce rez-de-chaussée est chaud (à tous les sens du terme),
si l'étage est chaud aussi (à un seul sens),
le bar et sa piste de danse, bénéficiant de la climatisation est, par ces temps de grande chaleur, un havre de fraîcheur, surtout après avoir longuement profité de la chaleur sèche du sauna et des remous tumultueux d'un jacuzzi à température idéale.
D'expérience, on est jamais seul au "Clean"… bien qu'il faille parfois attendre très tard (province oblige, semble-t-il) avant d'être en bonnes compagnies autres que masculine, on ne se refait pas. Province oblige, toutes les sexualités adultes sont ici, admises. Alors il ne faut pas, pour un hétéro comme moi, s'étonner d'y croiser homos ou travestis. Chacun vaque à ses occupations selon ses désirs. La clientèle est globalement plutôt mure, ce qui n'est pas pour me déplaire.
Bonne soirée finalement, une dizaine de couples, la traditionnelle sur-représentation masculine (mais dans des limites normales), et pour me faire passer serviettes et tenues de bains, un string noir sous une mini-jupe et un top suggestif et un boxer short en coton hyper mini.
Il pleuvait quand je suis parti mais le capteur extérieur de la voiture affichait 0°C… il neigeait quand j'ai rejoint le "Sans Interdit" à Clermont-Ferrand.
Ce club bénéficie de deux avantages sur ses équivalents parisiens : pas de problèmes de voisinage, pas de problèmes de parking. Au cœur des usines, à deux pas du stade Michelin, le paysage n'est pas particulièrement génial surtout sous la pluie, la neige… mais, nous ne faisons pas du tourisme culturel.
Je n'étais pas revenu depuis quelques mois. Coup de chance (ou de malchance… on verra plus loin), la soirée était consacrée à la pendaison de crémaillère de la nouvelle décoration du club.
Au décor un peu kitsch a succédé un décor beaucoup plus sobre, je dirai plus zen jouant plus sur les jeux de lumière. Les dominantes restent chaudes, mais des tableaux dynamiques de couleurs un peu froides donne beaucoup de charme au bar.
Si la piste de danse n'a pas changé, la boule de bal à laissé la place au laser dans une ambiance de bonne qualité.
Pour le reste le "Sans Interdit" n'a pas changé. L'accueil reste avenant (même si, mais c'est mon constant regret, les hôtes aussi aimables soient-ils ne jouent-ils pas toujours leur rôle de mise en relation entre les gens… comme "homme – actuellement – seul", ce service serait bienvenu).
Vaste, le club joue sur les deux offres, le club et
Il y avait du monde pour cette soirée. Trop de monde à mon goût, surtout que l'équilibre entre couples, femmes et hommes seuls n'était pas en faveur de ces derniers.
Mais c'était une soirée-spectacle ! Sauf que le spectacle ne devait jamais avoir lieu.. pour cause de neige, les animateurs étaient coincés quelque part entre "Auxerre et Avallon".
De 22h00 à minuit, le club n'a cessé de se remplir. Effet spectacle, très rapidement, l'élément masculin devenait rapidement très majoritaire. Non qu'il n'y eut de jolies femmes (un message personnel pour les deux jeunes femmes, l'une blonde, l'autre rouge, toutes les deux en minijupes noires, l'une avec des bas résilles, l'autre des bas à coutures : vous étiez très bandantes ! un clin d'œil à celle arrivée toute en lingerie blanche et à celle en robe noire cuir et transparence… et aux autres aussi), mais cette majorité masculine n'est pas mon monde libertin. Cela ne me dérange pas, le club y trouve normalement son compte. Dans ce cas là, je romps… je me suis couché plus tôt ce soir là !
Mais je reviendrai… par expérience, derrière une soirée que l'on trouve décevante, on en trouve toujours une grandiose !
Alors, que vous soyez femme, couple ou homme :
Ne vous inscrivez pas, vous iriez au devant de déconvenues
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Douche
Elle est censée être obligatoire dans les établissements de bains (Hammam, Sauna,…).
Combien s'en dispensent ou ne font qu'effleurer le jet (trop froid) ?
Dans la mesure du possible, quand je quitte mon appartement ou ma chambre d'hôtel pour sortir en club, je prends une douche.
Mais ce n'est pas toujours possible, souvent au sortir d'une journée de travail, pouvoir prendre, dans un club, une bonne douche, bien savonnée, est déjà le début de
Bien qu'espace collectif, la douche me semble rarement utilisée comme espace érotique. Se savonner mutuellement, n'est-ce pas déjà l'amorce d'un massage.
Les clubs qui n'ont pas vocation à faire dans le bain, ne devraient-ils pas disposer d'un espace de douche collective au lien de ces étroites cabines standardisée. Après de longs ébats, ce jeu d'eau de groupe ne marquerait-il pas, d'une manière ludique, l'heure de séparer.
Votre avis en commentaire
Pas mal de clubs associent le libertinage à l'eau. Malgré tous les plaisirs que je prends à ces jeux d'eau, l'impression finale est mitigée, j'ai plaisir à fréquenter ce type de club de temps en temps, mais finalement, je crois que je préfère les secs.
Pourquoi ?
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